Avant de vous raconter mon réveillon, je voulais vous faire part de ce que j'ai écrit hier et que je n'ai pas pu poster tout de suite. A l'origine je l'ai écrit pour moi, et non pas pour le publier, c'est donc confus, assez bizarre... mais j'ai envie de faire mon égoïste des fois.... désolé. et c'est surtout que je ne veux pas modifier ce que j'ai écris hier dans un autre état d'esprit. (pour infos, L. est en fait le prénom de Drazic)

Je viens de me rendre compte en repensant à mon rêve que je suis attachée à lui, ou pire, je suis attachée à l'image que je me suis faite de lui, je crois que j'apprécie Drazic et non L.. je suis tombée dans le piège de faire la distinction entre les 2, c'est ce que je craignais. C'est vrai, dans le fond, j'ai l'impression de connaître Drazic mais pas L.. Et ce sont ces rêves qui m'ont aidé. Dans ces quelques rêves de lui tout se passait bien et je me sentais avec lui comme dans un cocon, en sécurité, prête à y rester le plus longtemps possible, sauf ce dernier rêve. Là je voyais L., ce L. qui joue, qui abandonne, qui critique. ce L. qui a certains des défauts que je trouve impardonnable. Ca marque donc le début de la fin de la distinction entre le vrai et le personnage. L. ne sera pas difficile à remettre à sa place de simple connaissance dont je me moque amplement, il faut surtout que je recolle maintenant Drazic et L., que j'accepte l'idée qu'ils ne sont qu'une seule et même personne, malheureusement pour moi à dominante L.

Il y a quelque chose qui m'a marqué dans ce rêve aussi, c'est l'apparition de Teuf, lorsque je prenais conscience du jeu de L., en me retournant je l'ai aperçu dans un recoin, à moitié caché mais qui observait le scène en souriant. pas un sourire moqueur, un sourire gentil, agréable, un sourire de confiance qui m'a donné cette impulsion pour partir.

Il y a un dernier point de ce rêve qui m'a interpellé, c'est ce "caprice" de L. caprice qui révèle peut être ce que j'ai toujours refusé de m'avouer à son sujet. ces défauts qui pourtant m'interpellaient mais que je dissimulais. c'est marrant pourtant, les caprices ne font pas partis de ces défauts.
Mais ce n'est pas seulement ce qui m'a marqué cette nuit, c'est surtout le fait que je le laisse s'en aller sans dire un mot: signe de la fin? Peut être

Il y a des nuits comme ça où je préférerais ne pas me souvenir de mes rêves...