pas envie d'aller me coucher une fois de plus... j'aime pas quand je suis comme ça. ça arrive de plus en plus fréquemment en plus. et puis là je me dis que cette journée qui devait être assez longue est passé alors je suis contente, j'en suis fière. oui, mais faut remettre ça demain. Demain on prend les mêmes et on recommence.
Mercredi je vais courir dans tout Lyon pour les journées portes ouvertes dans les facs. j'ai mon petit planning, va falloir que je courre un peu mais bon... Je veux absolument tout faire mercredi puisque mercredi soir on fête l'anniversaire de Jul et par conséquent je ne serais sûrement pas apte à faire ça jeudi.
J'espère que ça va confirmer mes choix et non détruire tous mes projets d'avenir... espoir espoir.
donc on peut dire que demain soir je suis un peu en week end déjà (bon ok j'ai que 2 journées de libres et je retourne en cours vendredi, mais laissez moi rêver!).
Stairway to heaven passe en boucle depuis tout à l'heure, le début de la chanson me donne envie d'aller me coucher, puis reviens cette non envie à la fin. Alors s'il vous plaît monsieur Led Zeppelin est-ce que vous pourriez arrêter de chanter la fin de votre chanson? merci
Reactions :
Re: Re:
Bah je sais pas comment je me suis débrouillée, mais 2h ça m'a suffit. et puis comme je voulais avoir le premier bus pour rentrer chez moi bah je suis sortie tout de suite (d'habitude je reste un peu à regarder les gens travailler, revasser, relire 4 ou 5 fois ma copie pour me dire que j'aurai pu faire mieux). alors forcement quand les gens m'ont vu sortir ils m'ont traité de folle!
bisous
...pour illustrer la fin du post ;-)
A la fin de la face, vient « Stairway to heaven » : le pipeau de « Bonne nuit les petits », puis une ballade médiévale, puis du folk-rock haché, puis le coq qui recommence à s'égosiller. Pendant tout ce temps, les couples sont restés collés. (...)
« Stairway to heaven » est le morceau que les radios américaines ont le plus souvent passé, à travers les années. Il inaugure un genre : la complainte du hard-rocker qui, sous ses dehors bourrus, voire violents, dissimule un coeur tendre. Il ne peut s'empêcher de hurler à la fin, car c'est plus fort que lui, mais voyez comme il peut être mélancolique...
'pas moi qui l'ai dit, c'est François Gorin, Sur le rock (Lieu Commun, 1990)
bisous !
Elfe-en-moi